Florian est entré chez ABB en 2016 dans le cadre d’un stage de fin d’étude. Cet attrait pour la robotique n’est pas récent. Intéressé depuis l’enfance par la robotique, les bidouillages électroniques, Florian a toujours voulu travailler dans la robotique industrielle afin de savoir concrètement ce que c’était. « ABB faisait partie du podium, des meilleures entreprises de robotique industrielle du monde donc forcément ça m’a motivé à postuler et décrocher le stage ».
Très intéressé par l’informatique, la mécanique, l’électricité et l’électronique, la robotique était l’occasion de regrouper tous ces champs d’activité.
Aujourd’hui, Florian est monté en compétence sur les domaines de la robotique et est devenu un expert. Il a pour rôle de supporter les clients, les utilisateurs finaux des robots ABB. Travaillant aussi bien en équipe qu’en autonomie, il apprécie la bonne cohésion de groupe : « on se soutient si quelqu’un dans l’équipe a une question ou une difficulté ».
Ce qui lui plait particulièrement est la variété de ses missions et des produits avec lesquels il travaille. « Mes semaines ne se ressemblent pas trop, il y a des semaines que je peux passer dans des usines un peu partout en France où je programme des robots, j’aide les personnes à en programmer. Ça peut être aussi des semaines où je suis à Cergy au bureau à répondre au téléphone, à envoyer des emails pour répondre à des problématiques clients. Après je peux aussi passer mon temps dans l’atelier à faire des essais avec nos robots pour vérifier qu’ils puissent faire l’action qu’on leur demande ».
Florian apprécie son métier très concret dans le sens où il voit ce qu’il fait et ce qu’il apporte aux autres. « C’est un métier gratifiant, les clients me remercient. J’aime voir la valeur ajoutée des personnes qui travaillent en usine 8H/jour » ajoute-t-il. Sa principale motivation est d’aider les autres en « en faisant des tests sur des robots et en trouvant la cause de non-communication, de dysfonctionnement et que cela marche après ». Il en retire une vraie fierté !
Lors de l’arrivée du robot YUMI, Florian a participé à de multiples projets, fait des représentations commerciales dans des salons dans lesquels il faisait des démonstrations avec le robot. Comme petite anecdote, il nous raconte que lors d’une de ses présentations, il a rencontré François Hollande (président à l’époque) qui visitait l’usine. « J’étais en charge du bon fonctionnement de la démo. J’étais touché de la responsabilité qu’on me donnait. Cela a duré 15 minutes au total mais y’a eu une journée de stress avant » se souvient -il avec émotion.
ABB lui a apporté beaucoup de choses d’un point de vue humain. « Au début j’étais très introverti, plutôt pas sûr de moi, je n’osais pas me montrer en public » se souvient - il. En participant à des salons, faisant des conférences, ABB lui a permis d’être plus à l’aise à l’oral et d’aller plus facilement vers les autres. Florian souligne la présence de Guillaume Pradels qui l’a accompagné dans ses missions et le déploiement de ses compétences. D’un point de vue technique, ABB lui a permis de savoir ce que c’était la robotique industrielle et d’être maintenant un expert dans le domaine.
Lorsque l’on demande à Florian ses trois forces majeures, il répond tout d’abord la capacité d’analyse, l’importance d’avoir une démarche scientifique. Puis, la capacité d’écoute et enfin la capacité d’adaptation. Il est effectivement essentiel pour lui d’expliquer de manière claire et facile quelque chose qui pourrait être très complexe. Il faut savoir adapter son discours selon l’interlocuteur que l’on a en face de soi.
Sa devise qui est la suivante : « Toujours transformer un problème complexe en petites étapes simples » résume son métier au quotidien.
Enfin, concernant les futurs collaborateurs d’ABB, il leur conseille de : « Ne pas avoir honte de ne pas tout savoir. Quand on postule chez ABB, on ne peut pas arriver en sachant tout. Il ne faut pas se mettre des freins là-dessus et être toujours dans la curiosité, dans la volonté d’avancer. Ne pas hésiter à poser des questions, quelqu’un saura toujours y répondre ! »